Un cagnard à faire évaporer la mer.
Il se dresse majestueusement, étalé sur la trop petite île.
Brossé par la brise, recouvert d'un tapis de broussailles jaunies par le printemps mais tirant de plus en plus vers le vert à mesure que l'été fait sa place.
On sent sa respiration en le gravissant. On se sent tout petit à l'ombre de ses pentes.
Commentaires
Intéressant tous ca, faudra mettre des photos quand tu seras dedans, A+